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Laurent MAUVIGNIER
Se lancer dans la lecture des 752 pages de « La maison vide », le dernier roman de Laurent Mauvignier, cela tient de l’embarquement pour une longue traversée sur la haute mer du souvenir. Avec coups de tabac et périodes d’étale, vagues scélérates et journées de surplace, et toujours le libre champ laissé à l’imaginaire. L’on comprend…