Après « L’Egout » (2018) et « Burn-out » (2020), voici la troisième traduction, rigoureuse et réussie, d’un roman de l’écrivain serbe né en 1978. Nous transportant aujourd’hui sur l’une et l’autre rive du Bosphore, il illustre à sa façon ce qu’énonçaient Baudelaire puis Julien Gracq : « La forme d’une ville change plus vite hélas que le cœur d’un humain »
